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Christina Meetoo

On Media, Society and Mauritius

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Journée internationale de la langue et de la culture créole : L’introduction du créole au Parlement fait débat

29/10/2020 By christina Leave a Comment

https://defimedia.info/journee-internationale-de-la-langue-et-de-la-culture-creole-lintroduction-du-creole-au-parlement-fait-debat

Journée internationale de la langue et de la culture créole : L’introduction du créole au Parlement fait débat
28 OCTOBRE 2020

PAR ADILA MOHIT-SAROAR
Contact:

Depuis 1983, le 28 octobre a été décrété Journée internationale de la langue et de la culture. Si Maurice avait accumulé du retard concernant la valorisation de notre langue maternelle, au fil des années, on a pu réduire cet écart. Entre la concrétisation du dictionnaire, l’introduction du créole dans les écoles, il n’y a que son introduction au Parlement qui est en suspens. Un groupe d’universitaires travaille sur un projet en ce sens.

Le professeur Arnaud Carpooran, qui est le Personal Chair in French and Creole Studies, doyen de la faculté des Social Sciences and Humanities, mais aussi président de la Creole Speaking Union, affirme que cela fait de nombreuses années que la Journée internationale de la langue créole et de la culture créole est célébrée. Ajoutant que Maurice était en retard en la matière, mais fait désormais relativement bien. « C’est l’Université de Maurice qui a commencé à célébrer cette Journée. Cette année, ce sera la 20e édition. On doit avouer que, depuis la première édition, il y a eu une réflexion et les choses ont beaucoup avancé », explique le Pr Carpooran.

Il cite plusieurs événements majeurs, notamment le dictionnaire en créole, dont le prototype est sorti en 2005, la première édition en 2009, la deuxième en 2011 et la dernière en 2019. Le Pr Arnaud Carpooran souligne, de plus, la célébration du festival kreol, devenu un rendez-vous annuel depuis 2006. En sus, la langue créole a été introduite dans le cursus scolaire, soit dans le primaire en 2012, et dans les collèges en 2018, alors qu’à l’université il y a un programme depuis six ans.

« On a fait un bon bout de chemin, tant au niveau académique, scientifique et scolaire. Il faut que le créole soit désormais introduit dans d’autres institutions, dont le Parlement. Je trouve que c’est bon signe que les ministères respectent l’orthographe dans les publicités. On entame des discussions plus poussées afin que le créole soit proposé comme sujet en SC et HSC », déclare le président de la Creole Speaking Union.

Terminologie discutée
Sur le volet concernant l’introduction du créole au Parlement, en juillet de cette année, le chef du gouvernement affirmait dans l’hémicycle que ce processus prendra du temps. « La maîtrise de la langue à tous les niveaux est un prérequis majeur de son introduction à l’Assemblée nationale. Et, ce processus prendra du temps.

Pour que le kreol soit utilisé au Parlement, nous devons nous assurer que les parlementaires et le personnel de l’Assemblée aient reçu une formation appropriée pour cette langue ». C’est ce qu’a fait comprendre Pravind Jugnauth, en réponse à une question ayant trait à l’utilisation du kreol au Parlement. C’était lors de la Prime Minister’s Question Time (PMQT), à l’Assemblée nationale, le 7 juillet dernier.

Entre-temps, un groupe d’universitaires a travaillé sur un projet s’intitulant « Preparasion terin pou introdiksion Kreol Repiblik Moris dan Parlman ». Parmi, la chargée de cours, Christina Chan-Meetoo, qui est également membre du board de la Creole Speaking Union. Elle précise qu’il y a plusieurs sous-comités qui ont travaillé sur différents aspects, notamment la terminologie, le registre de langue (par exemple : Unparliamentary language), l’informatique, l’information et la formation. « Il y a tout un travail à faire à partir des méthodologies. On a commencé le travail qui se structure au fur et à mesure », soutient-elle.

Christina Chan-Meetoo dit, par ailleurs, espérer que tous ceux qui veulent écrire continuent de faire l’effort de bien respecter l’orthographe standard, comme ils le feraient pour toute autre langue. « Le créole poursuit son chemin vers une utilisation reconnue de sa forme écrite standard dans les structures formelles. Il y a déjà de plus en plus de situations où le créole est utilisé pour communiquer avec le public en général, que ce soit dans les instances publiques ou commerciales privées », indique Christina Chan-Meetoo. Elle ajoute qu’il y a encore des progrès à faire pour assurer le respect de l’orthographe officielle, mais il est indéniable qu’il y a souvent de la bonne volonté et des efforts.

Déception
Pour sa part, le Pr Jimmy Harmon, responsable du secondaire au Service Diocésain de l’Éducation Catholique (SeDEC) et qui a été engagé pour l’introduction du créole dans les écoles, rappelle qu’il y avait le projet ‘prevok bek’ qui a vu le jour en 2005 et préparé par le linguiste Dev Virahsawmy. « Je tenais les rênes de ce projet qui a eu un réel impact à travers l’introduction du créole dans les écoles primaires, ensuite secondaires », relate notre interlocuteur.

Même s’il y a eu des avancements, il reste encore du chemin à faire. Sa déception provient du fait qu’il n’y ait pas de réponse claire sur la langue créole comme une langue à part entière dans le cursus scolaire en SC et HSC. « Des étudiants peuvent étudier le créole jusqu’en Grade 9. Il y a de nombreux élèves qui souhaitent poursuivre l’apprentissage de notre langue maternelle. C’est dommage, voire décevant, qu’on n’ait pas de réponse claire quant à la possibilité d’étudier le créole et prendre part aux examens en SC et HSC. »

Pour sa part, le linguiste, Dev Virahsawmy, est d’avis qu’il y a encore du travail à faire pour l’avancement de la langue créole. « On doit développer une stratégie pour que tous les Mauriciens se servent de la langue créole morisien et l’autre qu’on appelle créole anglais. On doit promouvoir le bilingual literacy. C’est-à-dire, on doit apprendre à parler, écrire, lire et compter en ces deux langues. Si on arrive à le faire, la population sera une population éclairée, éduquée et moderne. Or, les politiciens ne comprennent pas cela », déplore Dev Virahsawmy, qui estime qu’il y a un gros travail d’éducation à faire.

20e édition de la Journée internationale de la langue et de la culture créole
En marge de la Journée internationale de la langue et de la culture créole, l’Université de Maurice et la Creole Speaking Union organisent, ce mercredi 28 octobre, la 20e édition au The Core Building à Ébène. Le thème cette année : “Kreol Repiblik Moris : Nouvo defi, nouvo perspektiv”

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10/09/2020 By christina Leave a Comment

https://defimedia.info/les-mauriciens-croient-de-moins-en-moins-aux-versions-officielles
Les Mauriciens croient de moins en moins aux versions officielles
05 SEPTEMBRE 2020

BY DEFIMEDIA.INFO .
Contact:
Les réseaux sociaux ont amplifié cette crise de confiance entre la population et les politiques.
Le manque de communication du gouvernement et la polarisation de certains médias sont autant de facteurs qui poussent les citoyens à prendre des vessies pour des lanternes. Un scientifique et trois spécialistes des médias expliquent cette situation.

Le phénomène n’est pas nouveau. Le manque de transparence notoire du gouvernement sur certains dossiers brûlants, couplé à la propension de radiotélévision nationale et d’autres médias proches de pouvoir à distiller l’information poussent de plus en plus de Mauriciens à s’abreuver en théories de complot.

Un petit tour sur les réseaux sociaux montre que les thèses les plus farfelues sont les plus populaires, que l’émotion l’emporte bien souvent sur le rationnel et que tout avis contraire est voué aux gémonies. Depuis le naufrage du MV Wakashio, différentes théories sur le drossage du minéralier sur les récifs de Pointe-d’Esny foisonnent, les explications officielles étant considérées comme infondées.

Manque de confiance
« Il y a un manque de confiance dans tout. Ce qui ne date pas d’aujourd’hui, bien au contraire. Les gens ne cherchent pas à se renseigner avant de colporter ce qu’ils croient être des informations fiables. C’est plus facile pour eux de partager de la désinformation que du concret. Quelqu’un croit avoir vu un cachalot, tout le monde le croit. Des hydrocarbures n’ont pas été découverts dans le système digestif ou respiratoire des mammifères, mais les gens vont s’attarder sur la photo de la gueule d’un dauphin échoué sur un rivage pollué », déplore un scientifique.

Dans une telle situation, la presse indépendante a le devoir de jouer son rôle de phare dans ce brouillard, afin de guider les citoyens. Le sensationnalisme étant le propre des réseaux sociaux. La facilité avec laquelle certains médias reprennent ces théories de complot sur ces mêmes réseaux, sans toutefois apporter de réponses claires, ne fait qu’alimenter la polémique, constate notre interlocuteur.

« C’est un manque de formation sans doute, pour les uns, et un manque d’éthique, pour d’autres. Le sensationnalisme fait vendre. Les médias doivent éclairer les gens. Très peu de titres seulement sont intéressés par ce qui se passe. On préfère écouter des personnes qui véhiculent des faussetés. C’est un comportement grégaire », fait-il comprendre.

Pas de rationalité, pas de sérénité
« La crise de confiance dans la parole des politiques n’est pas le propre de Maurice. Je ne vais pas nécessairement rejoindre l’analyse de Lalit, je sais que tout le monde leur est tombé dessus à bras raccourcis, mais il y a des éléments qu’il ne faut pas rejeter », fait ressortir Christina Chan-Meetoo, chargée de cours en communication à l’université de Maurice.

Elle fait valoir que les Mauriciens ont toujours critiqué les politiciens ou les partis qu’ils ont portés au pouvoir. Avant, ces ras-le-bol c’était davantage dans les cercles intimes. Avec les réseaux sociaux, ils n’hésitent pas à partager leurs opinions à visage découvert. « Vraie ou fausse, la viralité est tellement facile, tellement grande, que ça peut faire le tour de la planète en un clin d’œil », poursuit-elle.

Réceptif à une nouvelle, même fausse, parce qu’elle répond à plusieurs critères inconscients…”
« La polarisation accrue des médias n’aide pas à éclairer les lecteurs », dit-elle. Elle remarque également que certains « journalistes n’aident pas » à décanter la situation, notamment à travers des posts ironiques ou qui ne sont ni plus ni moins que du « character assassination ». « L’objectivité pure n’a jamais existé. Au fil des années, il y a des positionnements de médias pro ou anti gouvernement, ça n’aide pas à assainir le débat », déclare-t-elle.

La situation est telle que les Mauriciens sont à fleur de peau sur les réseaux sociaux et qu’ils peuvent descendre une personne qui décide de faire part d’une opinion contraire. « Il n’y a pas de rationalité, pas de sérénité. » Elle déplore la mauvaise communication du gouvernement sur le MV Wakashio. « Il y a eu des manquements, il n’a pas communiqué assez vite », ajoute-t-elle.

Tout le monde est un média
« Les rumeurs ont toujours existé et déstabilisé les sources officielles, gouvernement et presse. Mais aujourd’hui, elles ont beaucoup plus d’ampleur et voyagent plus vite avec la caisse de résonance qu’est Facebook. Tout le monde est un média. Pas uniquement les journaux, la radio », constate Ariane Cavalot-de l’Estrac, ancienne directrice de publication de La Sentinelle.

« Je vais écouter la rumeur, elle va “prendre” sur moi parce qu’elle se nourrit de la part d’ombre qui est en moi : la peur, la frustration, la colère. Je suis réceptif à une nouvelle, même fausse, parce qu’elle répond à plusieurs critères inconscients. Elle est compatible avec et elle renforce ce que je pense déjà. Elle tient la route ; elle vient d’une source crédible, la personne qui l’a partagé sur Facebook est crédible puisque je la connais », enchaîne-t-elle.

« La rumeur est acceptée par des gens comme moi ; elle est soutenue par des preuves, par exemple une photo. La photo d’un dauphin mort sur une plage qui a l’air d’avoir des traces de pollution répond à tous ces critères pour que je conclue que c’est à cause de la marée noire provoquée par le MV Wakashio », résume-t-elle.

Tsunami de mauvaises interprétations
Zeenat Hansrod, une journaliste du desk anglais à Radio France Internationale qui suit assidûment l’actualité locale constate que certaines pratiques au sein des médias locaux aident à propager de fausses nouvelles sur les réseaux sociaux. « Le copier-coller est une plaie dans notre profession. Copier une information et la diffuser sans contre-vérification est irresponsable et peut avoir des conséquences désastreuses », analyse-t-elle.

« Le 1er septembre, j’ai obtenu des informations du Japon que certains médias influents, à l’instar de la Tokyo Broadcasting System, rapportent que Port-Louis réclame une compensation de 3,2 milliards de yens, soit l’équivalent de Rs 1,2 milliard, de Tokyo pour la marée noire provoquée par le MV Wakashio. Ils ont tous repris une information reprise par un média mauricien », explique celle qui a démarré dans le journalisme à Maurice.

« Cette information grandement diffusée au Japon a causé un tollé, car les Japonais estiment que ce n’est pas à leur gouvernement de mettre la main à la poche, mais à l’armateur du minéralier. En fait, Maurice réclamait de l’aide pour l’achat de bateaux de pêche semi-industriels et l’erreur vient d’une mauvaise traduction du français au japonais. Cela a créé un tsunami de mauvaises interprétations », ajoute-t-elle.

« Cela prend un peu de temps pour vérifier une information, mais il faut s’y atteler, surtout à l’ère d’Internet et des réseaux sociaux qui permet à tout le monde d’écrire et de partager très facilement. Rapporter rien que les faits est essentiel à la rigueur et à l’éthique de notre métier », fait-elle ressortir. Elle met en exergue la différence entre le journalisme, l’activisme et l’opinion. Il y a une règle à respecter : « Il ne faut jamais mélanger faits et opinions ».

https://www.christinameetoo.com/2020/09/10/679/

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«Kaya ant sime lamizer ek sime lalimier» : un livre dédié au roi du seggae

15/08/2020 By christina Leave a Comment

https://defimedia.info/kaya-ant-sime-lamizer-ek-sime-lalimier-un-livre-dedie-au-roi-du-seggae
«Kaya ant sime lamizer ek sime lalimier» : un livre dédié au roi du seggae
11 AOÛT 2020

PAR EMILY PAYEN
Contact:

« Kaya ant sime lamizer ek sime lalimier ». C’est le titre d’un livre rédigé entièrement en kreol morisien qui a été lancé le lundi 10 août au théâtre Serge Constantin, à Vacoas.

Ce livre publié par la Creole Speaking Union (CSU) est dédié au père et roi du seggae, Joseph Reginald Topize, aussi connu comme Kaya. L’artiste aurait célébré ses 60 ans le 10 août s’il était encore en vie.

Pour lui rendre hommage, une équipe supervisée par Christina Chan Meetoo, chargée de cours à l’université de Maurice et le Dr Arnaud Carpooran, a retranscrit un manuscrit des textes et pensées quotidiennes du chanteur décédé.

Le livre est déjà disponible au bureau de la Creole Speaking Union à Quatre-Bornes.

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Sexism adds to mounting pressure women journalists are facing in Africa

21/05/2020 By christina Leave a Comment

https://www.iol.co.za/sundayindependent/news/sexism-adds-to-mounting-pressure-women-journalists-are-facing-in-africa-48070849

Sexism adds to mounting pressure women journalists are facing in Africa
By Edwin Naidu Time of article published May 18, 2020

The closures of Associated Media and Caxton magazine division, along with the transition of the Daily Sun primarily into a digital format, and the recent resignations of Mail & Guardian editor Khadija Patel and deputy Beauregard Tromp added to a woeful period for the media in South Africa, especially when May 3 was World Press Freedom Day.

Throughout Africa, the ongoing narrative about journalists, especially women, struggling to express themselves in newsrooms also cast a shadow over World Press Freedom Day.
Newsrooms in Ghana are also shedding staff, while in Malawi, journalist Brian Banda was attacked by alleged supporters of a political party on May 7, with incidents elsewhere reflecting media on the continent under siege.

David Kaye, the UN Special Rapporteur on the promotion and protection of the right to freedom of opinion and expression, said in a report to the UN Human Rights Council last month that many governments are restricting access to information, leading to journalists being intimidated, detained, questioned and harassed.

An ongoing survey of journalists by Sunday Independent found that the messengers of the news in Africa are telling their stories under mounting pressure.

Some are struggling to survive, amid poor working conditions, low salaries, inadequate resources, government interference, harassment and censorship, worsened by secrecy of governments’ management of information related to Covid-19.

Very often, media owners claim that they are in favour of women empowerment and are trying their utmost best to promote gender equality within their newsrooms and in their editorial content but according to senior lecturer in media studies at the University of Mauritius, Christina Chan-Meetoo, in a forthcoming book, the reality is further from the truth.

Christina Chan-Meetoo, a senior lecturer in media studies at the University of Mauritius.
Chan-Meetoo said one had to acknowledge that commercial imperatives and lazy journalism are still prevalent and that the gender agenda is often given due credence only for International Women’s Day or when a plethora of gender-based crimes dominate the news.

“All four main print media groups, private radio stations and public broadcasters are directed by male CEOs and have males as majority shareholders. In fact, none of the key directors of media houses in Mauritius spanning the written press, radio, TV and online news media are women,” she said .

In Somalia, the gender inequality is as alarming with sexual harassment a major concern, according to Farhia Mohamed Kheyre, chairperson of the Somali Women Journalists Organisation based in Mogadishu.

Farhia Mohamed Kheyre, chairperson of the Somali Women Journalists Organisation based in Mogadishu.
Mohamed Kheyre said key decisions are still made by men, sexual harassment is rife, and gender policies were absent.

“A study done last year shows that much remains to be done to ensure that sexual harassment can be dealt with effectively,” said Mohamed Kheyre.

Women have it no better in Rwanda where the freedom to carry out their tasks is proving to be a challenge, especially during the pandemic, according to Francine Mukase, a freelance journalist in Kigali, Rwanda, who said the secrecy around information being released by the Rwandan government was making it difficult to report on the pandemic.

“Press briefings seem like a formality, without specific data, that’s a challenge. One is not allowed to ask questions either,” she said.

Tanzania is about 1000km from Rwanda, but the challenges are similar, according to Aurelia Gabriel, a senior journalist at her organisation.

“Many female journalists are working under difficult conditions.

“Women are not given a chance to own management positions, even if appointed as managers, they are still oppressed. Women in newsrooms are also sexually abused,” said Gabriel.

Awarding-winning BBC journalist Yvonne Mooka works in Gaborone, the capital of Botswana and her situation is different.

“There has been tremendous progress. Women are empowered.

“We have female journalists leading newsrooms.

“Women have a voice,” she said.

Mooka said the gender imbalance of the past has changed in Botswana with more women in leadership positions but disparities in pay remain.

“I believe there are equal opportunities for women. All they have to do is ‘grab them’. It starts with an individual,” she said.

Nonhlanhla Ngwenya is editor of online media platform Community Radio Harare in Zimbabwe.

She said the station strove to have an equal presentation of journalists at the organisation.

“We currently have seven reporters and four are women.

“But, generally, the media is male dominated and most women in the field tend to be given soft or easy beats.

“There has been conversation around equality in the newsroom by organisations such as the Young Journalists’ Association (YOJA),” she said.

Men still dominate the media in Kenya – as reporters/journalists and as news sources/actors, according to The Gender Agender, the last survey on women in the media in Kenya undertaken five years ago.

This study concludes that many media outlets operate without gender policies and this was evident when the majority of the members said they were not aware of gender policies in their media houses, and where they existed, they were not being sensitised.

But the road to freedom for women in the media on the continent remains a dream far from their daily realities – while in South Africa the current challenges facing journalists also revolve around survival.

The Sunday Independent

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Guide pour le shopping pendant la pandémie – version FR

24/03/2020 By christina 2 Comments

Précautions à prendre lorsque vous allez au supermarché afin de ne pas contracter ou transmettre le virus.

Avant d’y aller:

  • Préparez une liste complète.
  • Couchez la liste sur du papier et préparez un stylo ou un crayon que vous pourrez jeter avec la liste (sinon désinfectez-le).
  • Organisez votre liste en tenant compte de l’organisation des rayons (essayez de les visualiser) pour pouvoir respecter le tracé.
  • Si possible, achetez des provisions pour les parents ou voisins âgés ou malades afin qu’ils n’y aillent pas (parlez-leur au téléphone).
  • Prévenez-les que vous laisserez tout sur le pas de leur porte et qu’ils ne doivent pas sortir vous parler.
  • Demandez-leur de prendre toutes les précautions possibles avec les sacs (par exemple, utiliser des gants ou des sacs en plastique jetables pour toucher les sacs de provision – voir plus bas).
  • Achetez des quantités raisonnables selon les instructions des supermarchés (certains ne permettent que 3 exemplaires par produit de nécessité par personne).
  • Préparez vos pièces de Rs 5 ou de Rs 10 pour le caddie. Il est probable que les supermarchés ne puissent changer votre monnaie.
  • Préparez une table devant votre porte pour y placer les produits à votre retour.

Devant le supermarché

  • Mettez votre masque. Si vous avez des gants, mettez-les. Attention au gaspillage car les professionnels de santé en ont le plus besoin. Fabriquez un masque si vous n’en avez pas.
  • Dès que vous commencez à toucher le caddie, ne touchez absolument pas votre visage, en particulier votre bouche, votre nez et vos yeux.
  • S’il y a une file d’attente, gardez la distance sociale avec les autres (au moins un mètre).
  • Soyez patient. On est tous logés à la même enseigne.
  • Si possible, ne sortez pas votre téléphone afin qu’il ne soit pas infecté.

Au supermarché:

  • Conformez-vous à votre liste. Prenez uniquement ce dont vous avez besoin.
  • Respectez toujours la distanciation sociale (au moins un mètre).
  • Respectez les employés de supermarché. Ils prennent des risques en venant travailler pour vous. Ne les approchez pas et ne les harcelez pas.
  • Si un produit n’est pas disponible, tant pis. Si vous avez une marque alternative, prenez-la.
  • Si possible, n’utilisez pas votre téléphone.
  • Triez les produits par famille et mettez-les dans des sacs différents.
  • Si possible, payez par carte bancaire.

Au retour:

  • Mettez votre liste et le stylo ou le crayon à la poubelle.
  • Essayez de vous nettoyer les mains avec du gel nettoyant ou bien lavez-les bien.
  • Si vous avez fait des provisions pour d’autres personnes, laissez ces provisions sur le seuil de leur porte.
  • N’entrez pas chez eux.
  • Quand vous rentrez, laissez tout dehors sur la table.
  • Laissez dehors vos savates ou chaussures et jetez votre masque et vos gants.
  • Si possible, quelqu’un de la famille sort avec des gants sans s’approcher de vous.
  • Allez vous doucher pendant que cette personne s’occupe des provisions.
  • Il/Elle transfère les produits périssables au réfrigérateur.
  • Utilisez un chiffon imbibé de javel dilué pour nettoyer les produits.
  • Lavez vos vêtements.

Click here for the English version

Klik isi pou version an Kreol Morisien

Filed Under: Uncategorized Tagged With: coronavirus, covid-19, protection sanitaire, shopping, supermarché

Enn gid pou protez ou si ou pe al sipermarse – version KM

24/03/2020 By christina 4 Comments

Prekosion ki kapav pran kan ou pe bizin al sipermarse pou pa gagn oubien transmet viris

Avan al sipermarse:

  • Fer enn lalis komision bien konple.
  • Met lalis lor enn papie ek prepar enn plim oubien enn kreyon ki ou pou zete apre avek papie-la (sinon desinfekte li).
  • Organiz lalis-la dapre bann reyon sipermarse kot ou pe ale (esey vizializ bann reyon-la) pou ou kapav respekte trase.
  • Si ou pe kapav, aste osi komision pou fami ou vwazin ki vie oubien malad. Koumsa zot pa bizin al sipermarse (koz lor telefonn).
  • Dir zot ki ou pou kit zot komision divan zot laport ek pa bizin sorti koz ar ou.
  • Dir zot ki zot bizin pran prekosion pou tous bann sak-la (par exanp, servi legan ou bien met enn plastik dan zot lame pou devid bann sak ek apre zet plastik-la -get lezot instriksion anba)
  • Me gard kantite rezonab dapre konsign sipermarse (par exanp enn sipermarse pa pou les pran plis ki 3 pake bann prodwi de baz).
  • Prepar ou pies Rs 5 ouswa Rs 10 pou kadi. Li posib pa pou ena lesanz laba.
  • Prepar enn latab deor pou poz bann prodwi kan ou pou retourne.

Kan ariv divan sipermarse:

  • Met ou mask. Si ou ena legan, met zot. Me pa fer gaspiyaz parski bann travayer dan servis lasante pli bizin sa bann lekipman-la. Si ou pena mask, fabrik ou prop mask.
  • Kan ou finn koumans trap kadi avek ou lame, pa tous ou figir ditou, sirtou ou labous, ou nene ek ou lizie.
  • Si ena lake, gard distans enn met omwin avek dimounn.
  • Gard pasians. Tou dimounn dan mem problem.
  • Si posib, pa bizin tir ou telefonn pou li pa infekte.

Kan dan sipermarse:

  • Swiv ou lalis. Pran zis komision ki bizin.
  • Pa koste avek lezot dimounn. Kontign gard omwin enn met avek lezot.
  • Respekte bann travayer sipermarse. Zot pe rann ou servis vinn travay. Pa koste ar zot ek pa ankoler avek zot.
  • Si enn zafer pena, les tonbe. Si kapav ranplas par lot lartik, fer li.
  • Pa servi telefonn si posib.
  • Triy bann komision pou ou ek separ pou lezot dimounn dan lot sak.
  • Kan pas lakes, servi kart si ou kapav.

Kan sorti depi sipermarse:

  • Zet ou lalis papie ek ou plim oubien ou kreyon dan poubel.
  • Netway ou lame avek sanitizer oubien lav bien ou lame si posib.
  • Si ou finn aste pou lezot dimounn, al kit sak komision divan zot laport san rant dan zot lakaz.
  • Kan ou ariv kot ou, poz tou deor lor enn latab.
  • Kit ou savat oubien soulie deor ek zet ou legan ek ou mask.
  • Si posib, enn dimounn ki andan vinn avek legan san koste ar ou.
  • Al bengne letan lot dimounn okip bann prodwi.
  • Li transfer bann prodwi perisab dan frizider.
  • Pas enn kout sifon inbibe avek solision zavel lor bann lanbalaz prodwi.
  • Met ou linz lave.

Click here for the English version

Cliquer ici pour la version en français

Filed Under: Uncategorized Tagged With: coronavirus, covid-19, gid, prekosion saniter, shopping, sipermarse

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